Curriculum Vitae

Sewoenam Gbordzi

Sewoenam GBORDZI (Epouse CHACHU)
Tél: 00233243149399(Ghana)
0033659069763 (France)
Courriel :
schachu@ug.edu.gh
sewoenam@gmail.com
Enseignante de français à l’université du Ghana, département de français.

Thèse en cours :
Étude comparative des verbes supports en français, en anglais et en éwé.
Université Paris Sorbonne (2ème année)

Diplômes :
2009: Master 2 Recherche, Sciences du Langage, Université Paris Descartes,
Les systèmes verbaux en français, en anglais, et en éwé.
2008: Master 1, Didactique de Français Langue Étrangère (FLE), Université de Franche-Comté, Besançon
Les enjeux des compétences plurilingues dans l’acquisition du Français Langue Étrangère : Le cas des apprenants de l’Université du Ghana

Domaines principaux de recherche :
La linguistique comparative
Les systèmes verbaux
L’acquisition des langues étrangères par les adultes

Publications :
Chachu, Sewoenam. (2013). Ghana Television and Radio Advertissements: Codeswitching as a type of language use in the context of unity in diversity. In Lauer Helen, Amfo Nana Aba Appiah and Boampong Joanna (eds.),The One In The Many: Nation building through cultural diversity, (pp. 80-96.) Accra: Sub-Saharan Publishers.

Le français, au service des sciences

Un point de vue solide, original et très convaincant sur la nécessité de réfléchir dans sa langue maternelle. Laurent Lafforgue est mathématicien, professeur permanent à l’Institut des hautes études scientifiques, à Bures-sur-Yvette, il a obtenu la médaille Fields en 2002. Il écrit : “c’est dans la mesure où l’école mathématique française reste attachée au français qu’elle conserve son originalité et sa force. A contrario, les faiblesses de la France dans certaines disciplines scientifiques pourraient être liées au délaissement linguistique. (…) le choix de la langue est le signe d’une attitude combative, le contraire de l’esprit d’abandon et de renoncement. (…) Sur le plan moral, c’est-à-dire sur le plan des valeurs qui est plus important encore, le choix du français (…) signifie qu’on accorde plus d’importance à la recherche en elle-même qu’à sa communication(…)”.

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Edito de Laurent Lafforgue
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Un point de vue complémentaire d’un ancien collègue de l’université de Franche-Comté, spécialiste du plurilinguisme. Claude Truchot écrit : “Le bilan probable (de l’enseignement en anglais dans les universités des pays du Nord de l’Europe) mais les autorités n’ont jamais osé le faire, est que la qualité de l’enseignement supérieur a baissé dans ces pays”
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Enseigner en anglais dans les universités françaises : quels effets prévisibles ?
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Contre la langue unique

Serge Halimi, Le Monde diplomatique, juin 2013

(…) l’attractivité d’une langue ne se résume pas à la vente de formations aux pays émergents. Elle s’affirme en échangeant avec d’autres, en pensant le monde, y compris celui qui vient. La France, qui s’est battue pour défendre son cinéma et son exception culturelle, peut-elle accepter qu’un jour la recherche et la science s’expriment uniquement dans l’idiome, d’ailleurs souvent maltraité, de la superpuissance ? (…)